Mon héroïne
Vraiment, je cale suur ce maudit procès. Alors, je vais pour une fois vous parler d'Elle. Un peu de douceur, un peu d'espoir dans ce monde de folie.
Elle, c'est Hélène. Elle, c'est une grande dame d'un mètre cinquante-huit. Elle, c'est la fragilité qui élmeut, la force qui déroute, l'énergie et la vie. Elle, c'est une petite bulle qui pétille quand tout déraille. Elle, c'est mon amie, ma soeur, ma coéquipière dans les balades au fin fond de Paris, de Rouen, ou d'ailleurs.
Mamzelle Hélène a pour mille qualités un défaut, très gênant quand on me côtoie. De longs cheveux de princesse, rangés en natte quand on vagabonde à deux, par mesure de précaution, hélas inutile puisque de chaque jour passé ensemble, me restent quelques fils d'or entre mes mains crispées. A chaque promenade, quand la douleur me fait accrocher de mes serres tout objet ou corps à portée de main, elle soupire, fataliste et prie pour qu'elle n'en perde pas trop.... puis sourit et finit par conclure, de sa voix flurette, par cette expression devenue entre nous une devise ; Sans ça, ce ne serait pas drôle".
Elle est à mes côtés, discrète ou plus présente, depuis quelques années. Elle a toujours dans les yeux un mélange de joie, de peur et d'espoir. Parfois, l'espoir se barre un temps, elle n'a pas une vie facile, ma Dame. Elle se ctoit entourée de héros et s'estime un cran en dessous. Parce qu'elle ne sait pas toujours faire, parce qu'elle se trompe.
Pourtant, Hélène, à ta façon, à tes idéaux, à ces étoiles que tu as semé sur ton passage... Tu es mon héroïne.
Et pour que vous puissiez écouter une voix frêle vous chanter la force... Ce n'est pas une pro, juste une âme d'artiste :
http://sd-1.archive-host.com/membres/playlist/95760262061387239/Monile.mp3
Elle, c'est Hélène. Elle, c'est une grande dame d'un mètre cinquante-huit. Elle, c'est la fragilité qui élmeut, la force qui déroute, l'énergie et la vie. Elle, c'est une petite bulle qui pétille quand tout déraille. Elle, c'est mon amie, ma soeur, ma coéquipière dans les balades au fin fond de Paris, de Rouen, ou d'ailleurs.
Mamzelle Hélène a pour mille qualités un défaut, très gênant quand on me côtoie. De longs cheveux de princesse, rangés en natte quand on vagabonde à deux, par mesure de précaution, hélas inutile puisque de chaque jour passé ensemble, me restent quelques fils d'or entre mes mains crispées. A chaque promenade, quand la douleur me fait accrocher de mes serres tout objet ou corps à portée de main, elle soupire, fataliste et prie pour qu'elle n'en perde pas trop.... puis sourit et finit par conclure, de sa voix flurette, par cette expression devenue entre nous une devise ; Sans ça, ce ne serait pas drôle".
Elle est à mes côtés, discrète ou plus présente, depuis quelques années. Elle a toujours dans les yeux un mélange de joie, de peur et d'espoir. Parfois, l'espoir se barre un temps, elle n'a pas une vie facile, ma Dame. Elle se ctoit entourée de héros et s'estime un cran en dessous. Parce qu'elle ne sait pas toujours faire, parce qu'elle se trompe.
Pourtant, Hélène, à ta façon, à tes idéaux, à ces étoiles que tu as semé sur ton passage... Tu es mon héroïne.
Et pour que vous puissiez écouter une voix frêle vous chanter la force... Ce n'est pas une pro, juste une âme d'artiste :
http://sd-1.archive-host.com/membres/playlist/95760262061387239/Monile.mp3